L’indemnisation recherchée est évaluée en fonction de chaque victime

L’indemnisation du préjudice pour une victime, c’est vraiment du sur-mesure.

C’est parce que chaque parcours est unique et que chaque trajectoire est unique que nous allons rechercher une indemnisation qui soit spécifique pour chacun de nos clients.

A titre d’exemple, nous avons défendu un cuisinier blessé à la main. Lorsque nous l’avons rencontré, il avait une proposition indemnitaire qui était de 10 900 euros.

Ce qui était important pour nous, c’est que l’on puisse comprendre quel était l’impact de sa blessure sur son activité professionnelle mais aussi l’impact sur ses activités d’agrément.

Dans ce cas, il s’agissait de la conduite de la moto, de la guitare et du piano.

Notre rôle a été de faire prendre en compte tout cela dans le cadre de l’indemnisation de ses préjudices.

Au final, après une nouvelle expertise, c’est une indemnisation de plus de 100 000 euros qui a été allouée par l’assureur, à titre amiable, à cette victime.

L’indemnisation ne peut pas être barémisée

L’indemnisation doit correspondre à la réalité de chaque préjudice pour chacun de nos clients.

Nous avons ainsi fait indemniser une victime paraplégique par la suite d’un accident de bûcheronnage, à la fois sur les conséquences professionnelles mais aussi sur les conséquences de ses loisirs.

Sur le plan professionnel, nous avons valorisé l’impossibilité pour lui de pratiquer à nouveau cette activité et, très concrètement, la très grande difficulté de retrouver un jour un métier.

Sur le plan des loisirs, nous défendions un jeune qui était très sportif. Il était essentiel d’indemniser l’aide humaine pour lui permettre de faire ses activités sportives.

Il a ainsi pu continuer ses activités, c’est une grande réussite pour le cabinet.

L’indemnisation : Un des moyens de retrouver le goût à l’élaboration d’un projet de vie.

Pour notre cabinet, l’indemnisation n’est pas une fin en soi. Elle s’inscrit comme une étape nécessaire à la réalisation d’un projet de vie que nos clients ont envie de construire à la suite de leur accident.

Ainsi, Henri a pu aménager totalement sa maison et aujourd’hui il peut de nouveau recevoir ses petits-enfants chez lui. Son épouse, qui travaillait, a arrêté son travail. Nous avons pu faire en sorte qu’elle soit indemnisée au titre de l’aide humaine qu’elle lui apporte.

Elle est désormais reconnue et rémunérée comme assistante de vie.

Ce qui nous intéresse c’est de connaître parfaitement le parcours de nos clients mais aussi leur trajectoire. Inscrire leur indemnisation dans la réalisation d’un projet de vie.
Victimes et préjudices, vous rendre plus forts.